[LIVRE] - Le Virus Morningstar (Tome 1)

Histoire : La fin n’est que le commencement : les victimes reviennent d’entre les morts pour arpenter le monde des vivants. Quand une opération militaire de grande envergure échoue à contenir le fléau des morts, ce dernier se transforme en une pandémie mondiale. Désormais, une seule loi naturelle régit le paysage mondial : vivre ou mourir, tuer ou être tué.D’un côté de la planète, à des milliers de kilomètres de chez lui, un général endurci passe en revue le restant de ses troupes: une jeune auxiliaire médicale, un photographe expérimenté, un soldat effronté et des dizaines de réfugiés, tous sous sa responsabilité. Tandis qu’aux États-Unis, un lieutenant-colonel découvre la sombre vérité sur le virus Morningstar et collabore avec une journaliste réputée pour divulguer ses informations au grand public…

Le Fléau des morts est le premier des deux tomes de la saga "Le Virus Morningstar" écrit par Z.A. Recht ! Plus de renseignements sur le site de l'éditeur : www.eclipse.fr

Deux histoires en parallèle qui se rapprocheront l'une de l'autre : La première concerne le côté scientifique du virus. Dans cette histoire, c’est aux scientifiques, au gouvernement (et services secrets) que l'on s’intéressera avec une question importante : jusqu’où peut on cacher des informations au public alors que l'on comprend que plus rien ne va ? Au programme : étude de corps, réflexion sur les travaux de recherche, séquestration et torture !

De l’autre côté on se retrouve avec un groupe de soldats que l’on va suivre de la bataille de Suez jusqu’à leur retraite sur les côtes américaines (qui poursuivra dans les terres avec une séquence au sein d'une ville fantôme bien flippante !). Ici pas de moment de haute réflexion en dehors des plans tactique : on défouraille, on tue du zombies et éventuellement on tente de leur fuir !

Mon avis sur le livre : Le décor est planté et il ne faut surtout pas s'attendre à une révolution du genre. En revanche l'atmosphère pesante et le fait de suivre deux histoires en parallèles ne laisse pas un seul moment de répit au lecteur.